La mort est, comme la naissance, un mystère de la nature : combinaison dans l’une des mêmes éléments qui se séparent dans l’autre. En somme, rien dont on puisse être déshonoré, car mourir n’est pas contraire à la disposition d’un animal raisonnable, ni à la logique de sa constitution.
Marc Aurèle, « Pensées pour moi-même » - Livre IV - 5.
dimanche 31 mai 2009
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