Il n’est pas facile de voir un homme malheureux pour n’avoir point arrêté sa pensée sur ce qui passe dans l’âme d’un autre. Quant à ceux qui ne se rendent pas compte des mouvements de leur âme propre, c’est une nécessité qu’ils soient malheureux.
Marc Aurèle, « Pensées pour moi-même » - Livre II - 8.
jeudi 23 avril 2009
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