Il faut toujours se souvenir de ceci : quelle est la nature du Tout ? Quelle est la mienne ? Comment celle-ci se comporte-t-elle à l’égard de celle-là ? Quelle partie de quel Tout est-elle ? Noter aussi que nul ne peut t’empêcher de toujours faire et de dire ce qui est conforme à la nature dont tu fais partie.
Marc Aurèle, « Pensées pour moi-même » - Livre II - 9.
vendredi 24 avril 2009
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